J'ai passé vraiment une nuit (blanche) mémorable - merci, Montréal! Mais, ça c'est une autre histoire. (Peut-être une autre fois, mes chers lecteurs et liseurs.) En rentrant a chez moi, j'ai rencontré un itinérant sans-abri, qui m'a approché pendant je tapais l'adresse du café sur mon iPod, pour inviter mes anciennes collegues pour un occasion a pratiquer la langue de Moliere. Il m'a demandé de l'argent - spécifiquement, cinq sous. Normalement je déteste les mendiants. Beaucoup! "Trouver un travail, vous maudits guignols!", je pense souvent. Apres tout, je travaille très dur chaque jour, et moi, je sais bien que si j'avais absolument pas d'argent, je trouverai aucun travail que je peux faire - moi, j'ai écrit, organisé, et réalisé un long-metrage, quand je gérais un petit enterprise chaque jour, et travaillais un après-midi chaque semaine, aussi. Mais, je sais bien que quelquefois la vie n'est ni juste ni egale, et je me sens comme je suis prêt a créer des changements dans ma vie. Alors, j'ai changé mon humeur, de agacé a gentil, et changé mon esprit. Je foulliais dans les poches sur mon pantalon, et j'ai trouvé quatre dollars et quelques sous, et ça je lui ai donné. Puis, excité, il m'a dit que maintenant il a eu presque assez a mériter un entré dans un abri pas trop loin de nous. Moi, je lui ai demandé comment plus encore il a besoin de, et il m'a dit que l'entré pour le mission étais quatre dollars et quatre-vingt sous. Puis, il m'a dit, "Merçi" pour l'argent. J'étais apitoyé, mais en commençant a chercher mon sac, je me suis demandé soudainement s'il n'étais pas un voleur ou quelquechose, et si peut-être je dois m'arrêter avant j'ai tiré mon porte-feuille. Je me suis agit comme j'etais cherché pour ma clé au lieu. Je lui regardais, il me disais que dans le mission on peut avoir un lit, un peu de déjeuner, et l'occasion a prendre une douche. J'ai remarqué que c'était vrai - bien qu'il avais un visage dur et ridé par les troubles, et meme-si il a eu besoin d'un barbier, son visage et mains étaient propre, et il portais un pantalon et un manteau très propre et frais. En lui demandant si le nom de le mission indique que le mission était un parti de l'église, a cause de le nom ("St. quelquechose…"), j'ai retirer cinq dollars, et puis, je lui ai dis que je voudrais proposer un échange - l'argent pour le cinq dollars. Il était d'accord, même s'il a voulu un pièce d'une dollar aussi, pour un café. Je me suis démandé s'il était un escroc ou fraudeur, et si j'etais un véritable con… mais, j'étais d'accord, et j'ai pris l'autre trois dollars et quelques sous de sa main. Puisque, j'ai pause…. "C'est si importante a toi?", je lui ai demandé. "Mais oui, c'est vraiment importante a moi!", il m'a dit puissamment. Alors, j'ai échappé l'argent, encore sur sa paume. Il était très content avec ça. Moi, je me suis rendu compte que j'oublias complètement a écrire l'adresse du café, et je marchais avec lui, envers le mission. "Comment j'avais tort!", je pensais, "C'est en fait une bonne occasion a pratiquer un peu de français!" Je me suis lui présenter, et il m'a dit que son nom est Daniel. J'avais du lui demandé trois fois d'ou il devienne, mais je ne compris jamais le nom qu'est-ce que il disait. Je me suis demandé puis si peut-être j'ai trouvé un nouveau chemin a pratiquer le français…. peut-être je Daniel rencontrais une fois ou plusiers de fois par semaine. Peut-être il peut m'apprendre de la vie, du sens de notre être, ou peut-être juste simplement des mots intéressants. Je le regardais avec affection, et je pensais du puissance de bienveillance sur notre belle planète. "T'as un mégot?" il m'a demandé, brusquement. Mais, heureusement, je ne fume pas les cigarettes - c'est vraiment un mauvaise habitude. Mais puisque, je m'a dit que moi, je ne connais pas les vies de les itinérants, et je m'a demandé comment je pensais que j'ai le droit a jugé les autres autour moi, et en lieu de lui dire que le tabac est trop cher pour quelqu'un qui n'a pas un travail et qui demande d'argent des étrangés, et a côté de tout ça, c'est aussi mal pour ses poumons, j'ai dit: "Non monsieur, mais j'ai un peu de la marijuana dans ma sac et si tu le voudrais, c'est la tienne." Il a penché vers moi, pour a dire, "Quoi?" Je lui ai répété: "Je n'ai pas un cigarette pour toi, malheureusement je ne fume pas, mais est-ce que tu veux de la marijuana?" Daniel a mis sa main a son oreille, en froncent les sourcils. "MARIJUANA?" je lui a répété encore, plus fort. En reculant, il avait tordu son visage dans un grimace - puis il s'est tourné et il a couru sur la rue.
jeudi 22 avril 2010
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